Rock n roll Animal m’a enivré les tympans des centaines de fois,
pourtant le ressenti change ou évolue au fil des écoutes.
A force, on connaît les chansons par cœur, on récite les paroles religieusement, on tape du pied aux moments favoris, secouant la tête, mimant un break de batterie, un riff de gratte ou une émanation vocale.
Bien qu’intégrée dans les chairs, la musique joue avec la flexibilité des sens, triturant les souvenirs et les expériences, amenant le corps dans le domaine de l’indicible.
A force, on connaît les chansons par cœur, on récite les paroles religieusement, on tape du pied aux moments favoris, secouant la tête, mimant un break de batterie, un riff de gratte ou une émanation vocale.
Bien qu’intégrée dans les chairs, la musique joue avec la flexibilité des sens, triturant les souvenirs et les expériences, amenant le corps dans le domaine de l’indicible.
La musique c’est la même chose différente à chaque fois.
La musique est une sexualité éthérée.
Le rock est cellulaire.
Chaque chanson est un rappel sensoriel inscrit quelque part.
LOU REED LIBÈRE L'ANIMAL QUE NOUS AIMERIONS DEVENIR DE LA RAISON QUI L'EN EMPÊCHE...
"White light goin' messin' up my mind
don't you know, it's gonna make me go blind
White heat, goin' down to my toes
Lord have mercy, white light had it, goodness knows"
don't you know, it's gonna make me go blind
White heat, goin' down to my toes
Lord have mercy, white light had it, goodness knows"
Lou Reed
R.I.P MotherRocker from hell
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